Un homme nu sous cage de chasteté dans une ambiance CFNM

Il y a peu de temps, j ai rencontré sur le net une fille délicieuse, Julia qui malgré son jeune âge a une expérience amoureuse hors du commun est d’une rare beauté. Les filles et les hommes n’ont plus de secrets pour elle…

En parlant de fantasmes je lui ai exposé un de me derniers, c’est ce que l’on appel le CFNM (clothed female naked mens), être un homme nu au milieu de femmes habillées! Et ces femmes sont là pour monter leur supériorité et leur domination face à cet être fragile et nu.

Julia semblait intéressée par mes expériences de domination féminine et de SM et finalement, c’est décidé, grâce à elle, je vais réaliser cette nouvelle folie, je dois me rendre chez Julia et son amie Agnès pour être un homme nu au milieu de filles habillées ! Le rendez vous est pris pour le prochain week-end, Julia va inviter quelques copines pour un apéritif et je serrais leur serviteur pour cette soirée qui sera certainement inoubliable !

Durant cette semaine d’attente, il me fut quasiment impossible de fermer l’œil de la nuit tant mes pensées contradictoires se bousculaient, envie de tout arrêter mais aussi une folle excitation de me voir dans cette situation humiliante mais combien érotique. Serais-je à la hauteur pour faire face à ces dames certes habillées mais sûrement dans des tenues terriblement sexy ?

Le sort en est jeté, samedi soir, Fontainebleau, un bel immeuble dans un quartier sympa, ascenseur, 4 ème étage, je suis arrivé, mon cœur près à exploser tellement il bat fort. Voir Julia pour la première fois, il est encore tôt, ses copines serrons elles déjà là ?

Je porte une cage de chasteté qui maintient mon sexe hors de porté de ma main et qui m’empêche de bander autrement que douloureusement, j’ai hésité à la mettre mais je crois que cela intéressera beaucoup ces jeunes femmes qui pour la plupart de soupçonnent même pas l’existence d’un tel instrument qui garanti a cent pour cent la chasteté masculine. Cet aussi le meilleur moyen de dominer un homme qui après une semaine de confinement est prêt a ramper aux pieds de sa compagne.

J’ai également rasé tous les poils de mon corps, par confort avec la cage mais aussi pour paraître encore plus nu.

La porte est là devant moi, le palier est désert, aussi pour franchir le pas, (et surement pour surprendre Julia) je me débarrasse de tous mes vêtements, je les dépose dans mon mini sac à dos et je presse la sonnette… impossible de revenir en arrière le sort en est jeté.

La porte s’ouvre immédiatement et à l’air ébahie de Julia je vois que l’effet de surprise à fonctionné, quels beaux yeux, je n’avais vu Julia qu’en photos et elle était encore plus belle en réalité. Elle était habillée avec une superbe robe noire avec un décolleté dans le dos qui plongeait si bas que de toute évidence elle ne portait aucun sous vêtements. Cette robe ressemblais étrangement à celle de Mireille Darc qui avait un dos nu jusqu'à la chute de reins dans le film un grand blond avec une chaussure noire. Immédiatement je lui passe autour du cou la chaîne en or ou pend la clé du cadenas de ma cage.

Elle met sa main sur mes fesses et me pousse dans un grand séjour agréablement décoré et me présente son amie de tous les jours, Agnès.

Agnès était également ravissante avec des cheveux bruns, très courts et elle portait exactement la même robe que Julia mais blanche, j’eu l’impression quelle me regardait un peu sévèrement et elle me dit :

• ou sont tes vêtements ?

• dans mon sac.

• Donnes les moi et suis-moi.

Je la suivis à la cuisine ou elle prit slip, chemise et pantalon pour les jeter dans le vide ordure de l’immeuble… qu’allait il m’arriver ?

• voilà tu voulais vivre nu au milieu de femmes, tu vas être servit.

• Eh avec cette cage nous ne serrons pas dérangées par ton petit zizi.

Pendant ce temps, Julia riait franchement, était elle complice de cette scène ?

• Nous t’appellerons Firmin et à chaque fois que quelqu’un sonnera à la porte tu iras ouvrir et introduiras les invités dans le salon. En attendant il y à dans la cuisine des paquets que le traiteur à déposé pour réaliser un repas pour quatre personnes. Quand tout le monde serra là, il faudra servir l’apéritif à ces dames et il est temps de préparer la table.

J’avais à peine terminé le dressage de la table que la sonnerie se fit entendre, mon cœur me défonça à nouveau la poitrine et c’est en tremblant que je me précipitai vers la porte.

Une femme pleine de charme, devant avoir 45 ans, fut devant moi, bouche bée et le regard fixé sur ma cage.

• Bonjour madame si vous voulez bien me suivre.

• Julia, tu peux m’expliquer ?

• Bonjour Maman, c’est Firmin, il va nous servir pour cette soirée, et avec cette cage pas de risques d’être importunées !

Mais déjà une autre personne arrivait…

La dernière femme à qui j’ouvris la porte avait la trentaine, une poitrine magnifique et un beau visage en me voyant elle me fit un baiser sur chaque joue ce a quoi je ne m’attendais pas. Elle se présenta en me déclinant son prénom : Catherine avant de retrouver les trois autres filles dans le salon et moi, nu au milieu de ces quatre beautés habillées très sexy…

Dans le séjour ce n’étaient que rires et chuchotements et les regards ne quittaient pas cette cage qui brillait au niveau de mon sexe. Pour le moment celui-ci était plutôt recroquevillé par le stress que j’éprouvais…

Je pris la commande des apéritifs avec mon appendice encagé au raz des yeux de ces dames qui paraissaient fascinées, la Maman de Julia qui s’appelait Solange me pris dans sa main en disant – le pauvre petit oiseau est en cage quel dommage !

Je laissais ces ravissantes créatures à leur discussion pour aller préparer le repas qui heureusement était déjà prêt.

Je m’appliquais beaucoup à effectuer un service parfait restant immobile à l’entrée de la pièce pour surveiller l’état des verres de ces dames et je m’empressais de les remplir en temps utile.

Le plat principal était un Oso Boucco qui paraissait délicieux, malheureusement je fis tomber un morceau de viande pleine de sauce tomate sur la nappe évitant de peu Catherine, il est vrai que j’avais l’œil dans son décolleté plutôt qu’à l’ouvrage…

Unanimement elles décidèrent de me faire passer sous la table afin de me faire pardonner auprès d’elle, aussi je fis de mon mieux pour satisfaire son bouton d’amour qui déjà était humide d’excitation. Heureusement Solange n’avait qu’un string minuscule qui ne me gêna pas beaucoup…

Je me demandais si je devais faire le tour de la table, n’en étions nous pas au dessert ? Et bien non, je fus rappelé pour servir un dessert plus classique.

Le repas terminé et la table desservie, ces dames se consultèrent quant a mon sort, certaines voulaient me punir pour mon geste maladroit, d’autres faire quelque chose pour me remercier de mon courage. Finalement Martine proposa que l’on me punisse d’abord quitte à me remercier plus tard !

Pour la punition, d’un commun accord elles décidèrent qu’une bonne fessée conviendrait parfaitement et que chacune aurait droit à 15 coups. Je fus couché sur dos d’un fauteuil, les fesses en l’air et Martine commença à mains nues et cette fille sportive y allait de toutes ses f o r c e s mes fesses devenaient brulantes et paradoxalement mon sexe emplissait totalement cette cage bien trop petite pour me contenir… La suivante ne voulait surement pas je faire mal aux mains car je sentis sur les fesses des coups bien plus douloureux, cela devait être une spatule de cuisine. Je ne comptais plus les coups mais j’étais au bord des larmes quant ce délicieux supplice s’arrêta j’en étais au stade ou on ne sait plus si c’est de la douleur ou du plaisir qui domine.

En regardant mes fesses dans le miroir d’un meuble, je vis qu’elles étaient d’un rouge vif et que le plaisir était bien terminé !

Agnès me dit que c’était maintenant le moment de me remercier, j’imaginais que Julia allait me libérer que j’allais être caressé par huit mains expertes ? Ce ne fut pas ce scénario, elles me firent à nouveau coucher sur le dos du fauteuil et je vis arriver Agnès équipée qu’un god ceinture (je ne trouve rien de plus excitant qu’une fille équipée de la sorte) quelle dirigea vers ma bouche. C’était très humiliant mais n’étais je pas là pour cela ? Je profitais de bien saliver sur l’instrument qui bien sur allait me pénétrer bientôt. Agnès me pris avec douceur et ce fut pour moi une première expérience de sodomie et la réalisation d’un vieux fantasme. Le plaisir fut étrange, un plaisir véritable mais pas un orgasme explosif plutôt comme un surf sur une vague de plaisir. Pendant ce temps Julia avait collé son minou trempé sur ma bouche… les hommes contraints à la chasteté pendant longtemps peuvent devenir des experts dans ce domaine…

Maintenant il y avait unanimité pour que l’on m’enlève la cage mais Julia en décida autrement : Le sexe de cet homme dont je détiens la clé m’appartient je ne le partagerais qu’avec Agnès à condition qu’il le mérite... La suite sera peut être écrite par Julia… deviendrais je l’esclave de ces deux filles ou sauront elle me dégoûter de ces jeux de soumission ?

A Julia.